AVERTISSEMENT : Le contenu de ce message est de nature à choquer un public non averti. Merci de votre discernement.
Jean-Marc Jancovici, membre du haut conseil pour le Climat
Mon cher lecteur,
Je m’appelle Guy de La Fortelle.
Je rédige le service d'information L’investisseur sans costume ainsi que la lettre confidentielle Risque & Profit
Je vais vous parler aujourd’hui d’un investissement potentiellement TRÈS lucratif et encore plus UTILE et RESPONSABLE.
C’est une sorte de Graal de l’investissement qui ne se présente pas tous les jours.
MAIS.
Il y a un MAIS.
Ce que je vais vous révéler est polémique, du grec polemos « agiter, secouer ».
Vous avez vu l’avertissement au début de ce message. Ce qui suit N’est PAS pour tout le monde, il n’est pas à mettre entre toutes les mains.
Je vais vous expliquer pourquoi le nucléaire est, à mon avis (ainsi que celui de l'Agence Internationale de l'Énergie), une source d’énergie indispensable à moyen terme, responsable et écologique et comment investir dans le nucléaire avec un potentiel de gain exceptionnel.
Je sais que cette affirmation peut vous choquer. Je comprends que vous ne soyez pas d’accord. Arrêtez votre lecture maintenant si elle vous déplaît. Simplement, avant de jeter le bébé avec l'eau du bain, sachez que ce qui suit est mûrement réfléchi, précautionneusement analysé et systématiquement vérifié.
Je vais vous montrer dans cette lettre comment une augmentation, même modeste, des centrales nucléaires dans le monde est sur le point d'enlencher un gigantesque marché haussier sur un actif bien précis.
Comme vous allez voir ci-dessous, la situation actuelle est comparable à celle du début des années 2 000.
À cette époque, les sociétés positionnées sur cet actif bien précis ont réalisé des gains difficilement imaginables pour quiconque n'est pas expert de ce domaine :
actif n°1 : + 3 800 %
actif n°2 :+ 350%
actif n°3 :+ 6 000% !
Imaginez une hausse verticale, comparable à celle du Bitcoin et des cryptomonnaies... MAIS QUI DURE. C'est de cela dont je vais vous parler aujourd'hui.
La guerre ! C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires, disait Clémenceau, artisan de la victoire de 1918.
Et moi je vous dit que l'écologie, il ne faut pas la laisser aux écologistes.
Il faut relire Jean-Vincent PLacé qui pleurnichait en 2008 dans les pages du Monde :
10 ans plus tard, C'est EXACTEMENT l'inverse qui s'est passé.
L'État a investi 144 milliards d'euros dans les énergies solaires et éolienne pour respectivement atteindre 2 et 4% de la production d'électricité... Cela correspond au double du budget pour moderniser les centrales nucléaires qui produisent plus de 70% de notre électricité !
Bien sûr cela n'empêche pas les écologistes de vouloir encore plus, beaucoup plus, de "fiscalité verte" pour financer la "transition écologique".
Bien sûr, ils oubient soigneusement de vous dire que toutes leurs éoliennes et tous leurs panneaux solaires ne vont pas économiser un gramme de CO2 puisqu'ils remplacent du nucléaire... Déjà décarbonné !
Bien sûr, ils oublient de vous dire que les 580 milliards d'euros investis par Allemands dans les énergies renouvelable ont conduit à :
Aujourd'hui il est devenu urgent d'arrêter de payer pour du vent et d'investir RÉELLEMENT dans la transition écologique en gagnant de l'argent !
Voici comment :
La Chine est de loin le plus grand promoteur de l’énergie nucléaire.
Le nucléaire sert à produire de l’électricité.
Et savez-vous comment on produit de l’électricité en Chine en 2020 ?
Avec ça :
Regardez bien ces immenses nuages de fumée qui sortent de cette centrale et des 181 autres unités chinoises qui fonctionnent au charbon.
C-H-A-R-B-O-N.
Ce n’est pas de la simple vapeur d’eau qui sort de ces cheminées mais une fumée ultra polluante : il y a dans ce nuage, en plus d’une forte teneur en CO2, du benzène, des goudrons, des dioxines, des oxydes de soufre et d’azote, des suies et particules fines, du cadmium, de l’arsenic, du mercure…
Aujourd’hui les 2/3 de l’électricité chinoise sont produits à partir du charbon et c’est la plus grosse catastrophe écologique en cours.
Peu de gens se rendent compte que le charbon est la 2e source d’énergie la plus utilisée au monde, juste après le pétrole et loin devant le gaz naturel.
En 2019, le charbon (en noir ci-contre) représente encore 30 % de la consommation d’énergie mondiale !
40 % de ce charbon est consommé rien que par la Chine, essentiellement pour produire son électricité.
En 4e place nous trouvons... L'Allemagne ! Et en 9e la Pologne : l'Europe n'a de leçons à donner à personne.
Selon un rapport de 2007 de la Banque mondiale en collaboration avec le gouvernement chinois, la pollution de l’air, dont le charbon est la première cause, est directement responsable de 750 000 décès chaque année, rien qu’en Chine. Ce n’est pas une erreur de frappe, il s’agit bien de sept cent cinquante mille morts par an, uniquement en Chine.
Il s’agit d’un rapport déjà vieux de 10 ans sous le contrôle du gouvernement chinois.
Entre-temps, la consommation de charbon a augmenté de 30 à 40 %.
Depuis que vous avez commencé votre lecture, 7 personnes sont mortes à cause du charbon en Chine. Sans doute plus encore.
Et je ne parle pas des séquelles sur tous les autres habitants, de la dévastation de la faune et de la flore, sur l’acidification de l’air, des rivières et des océans… Je ne parle pas de réchauffement climatique.
Des chercheurs du MIT ont montré que le mercure rejeté par les centrales à charbon est capté par les rizières et se retrouve dans l’assiette des Chinois. Le mercure a notamment pour effet de faire baisser le QI. La pollution au charbon rend littéralement les chinois imbéciles.
Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi Pékin a banni les nouvelles centrales au charbon en 2016.
La consommation de charbon mondial commençait ENFIN à décliner. Et voilà qu’en 2018, le journal britannique The Guardian, s’appuyant notamment sur des photos satellites, a montré que la Chine recommençait à installer de nouvelles centrales au charbon d’une puissance de 259 GW… Soit le double des capacités de production d’électricité en France !
Alors que Pékin a officiellement banni les nouvelles centrales au charbon, les images satellites montrent la construction en cours de nouvelles centrales au charbon.
Il faut avoir la mémoire bien courte pour jeter la pierre aux Chinois.
En 1952, ce n’est pas si vieux, le grand smog de Londres avait fait 12 000 victimes en 4 jours et rendu 100 000 personnes malades à cause du chauffage au charbon des Londoniens.
Colonne Nelson pendant le grand smog de 1952
60 ans plus tard, 30 % de l’énergie britannique est encore produite à partir du charbon, 22 % de l’énergie allemande, 12 % en Espagne, 15,5 % en Italie…
En France, nous oublions notre chance de n’avoir que 3 % de notre énergie au charbon. Et c’est uniquement parce que 70 % de notre électricité est produite à partir du nucléaire.
Il n’y a pas à choisir entre renouvelable et nucléaire, croissance ou décroissance.
Les énergies fossiles, pétrole, gaz et charbon, représentent 80 % de notre consommation d’énergie.
Ce chiffre va OBLIGATOIREMENT baisser. Pas tellement par conscience écologique mais pour une raison très simple : l’accès aux énergies fossiles devient de plus en plus difficile et cher.
Nous allons trouver, de gré ou de force, tous les moyens possibles de consommer moins d’énergie et mieux.
Nous allons apprendre à devenir sobres en énergie, par nécessité sinon par choix.
Nous allons être contraints de développer TOUTES les sources d’énergie alternatives.
Et dans ce cadre, comme le dit Jean-Marc Jancovici, militant écologiste et membre du haut conseil pour le Climat (auprès de Premier ministre) : le nucléaire est un amortisseur de la décroissance.
L’énergie que nous consommons aujourd’hui sert à nous déplacer, nous chauffer, nous équiper, nous nourrir. Un effondrement énergétique rapide, sans adaptation, serait une catastrophe pour des milliards d’êtres humains, apporterait guerres et famines.
Oui, nous allons investir massivement dans les énergies renouvelables, et cela les États le font déjà avec l’efficacité et les dérives que l’on connaît. Mais le solaire ne marche pas la nuit, l’éolien ne fonctionne pas sans vent et le temps est loin où nous saurons stocker l’énergie et la réintroduire à la demande sur les réseaux électriques.
C’est bien pour l’électricité que tous les autres pays d’Europe consomment du charbon, afin de remédier aux aléas des renouvelables.
Il faut une mauvaise foi extraordinaire pour se vanter comme les Allemands de développer les énergies renouvelables quand elles sont associées au charbon !
Mon but n’est pas de minimiser les risques du nucléaire mais de les replacer dans leur contexte.
Vous prenez votre voiture même si vous savez que la conduite présente des risques. Vous ne militez sans doute pas pour l’interdiction du tabac ou de l’alcool. La voiture fait pourtant près d’un million de morts chaque année dans le monde, l’alcool fait 3 millions de morts et le tabac 7 millions.
Bien évidemment, le nucléaire présente des risques importants. La tragédie de Fukushima est là pour nous le rappeler. Mais personne n’est mort à Fukushima. 160 personnes ont été opérées suite aux radiations mais dans le même temps 1 000 personnes sont mortes dans les accidents des mines de charbon chinoises et 6 millions (750 000 décès par an depuis 8 ans) à cause de la pollution au charbon… Il n’y a pas de comparaison possible.
Le ministre de l’écologie François de Rugy déclarait d’ailleurs en janvier en même temps qu’il annonçait la fermeture de 4 à 6 centrales d’ici 2028 : « Il ne s’agit pas, je tiens à le dire très clairement, d’une stratégie de sortie du nucléaire […] Il s’agit d’un rééquilibrage dans lequel le nucléaire a sa place […] Nous considérons que, dans la production d’électricité en France, et sans doute en Europe et dans le monde, le nucléaire peut jouer un rôle puisqu’il présente une production totalement décarbonée ».
Le nucléaire a sa place dans le mix énergétique mondial pour réduire les risques pour l’homme et notre empreinte environnementale.
En 2018, il y a 415 centrales nucléaires actives dans le monde.
C’est 10 de plus qu’en 2017 et 23 de moins que lors du pic de 2002.
Je ne suis pas en train de prévoir une multiplication des centrales dans le monde.
Les Chinois qui prévoyaient d’ouvrir une centrale nucléaire par mois ont réduit la voilure afin de respecter des critères de sécurité drastiques et c’est une bonne chose.
L’accident de Fukushima en 2011 a mis un coup d’arrêt total à la filière qui n’a repris qu’avec d’immenses précautions.
La production d’électricité nucléaire reprend par étapes depuis l’accident de Fukushima.
Nous n’avons pas encore atteint les « pics » de production de 2006 et 2010. Les prix de l’uranium étaient respectivement 6 fois et 3 fois plus élevés qu’aujourd’hui :
L’uranium aujourd’hui cela ne vaut plus rien pour 2 raisons :
Avec une chute presque instantanée de la consommation ET au même moment, une augmentation importante et conjoncturelle de l’offre, l’uranium a subi un énorme coup de ciseaux.
Ces deux facteurs conjugués on fait tomber le prix de l’uranium en dessous de son coût de production.
À l’heure où j’écris des lignes, le cours de l’uranium est à 26 dollars par livre entre 2 et 3 fois moins que son coût de production selon les mines.
Cela signifie que les cours de l’uranium vont devoir structurellement augmenter de 100 à 200 %, rien que pour revenir à l’équilibre !
C’est ça, le charbon, où on éteint la lumière.
Bien sûr, les producteurs d’uranium ne peuvent pas fonctionner à perte très longtemps. Face à cette situation, les mines d’uranium les moins efficaces ont cessé de fonctionner afin de limiter les pertes et écouler les stocks.
En janvier 2018, 7,5 % de la production mondiale d’uranium a été coupée et cela a été efficace.
Ces fermetures viennent essentiellement du Kazakhstan qui est le 1er producteur d’uranium au monde avec près de 40 % de la production mondiale.
Mais il y a également Orano, ex-Areva, qui dans sa triste débâcle avait également fortement réduit sa production d’uranium.
Aujourd’hui, le prix du minerai jaune repart à la hausse.
Mais il y a un problème…
Même si l’uranium à l’état naturel est faiblement radioactif, l’extraction se fait avec d’infinies précautions et de lourdes réglementations.
La mise en service ou l’arrêt de la production d’une mine prennent plusieurs années et c’est normal : vous manipulez un produit radioactif !
Le problème est que vous ne pouvez pas facilement moduler votre extraction selon la demande.
Or nous allons arriver à un moment où la tendance s’inverse : la production baisse et la demande augmente.
La dernière fois que des mines d'uranium ont fermé à cette échelle, nous étions au début des années 2000 et ce fut le coup d'envoi d'un long marché haussier.
L'uranium est passé de 8$ l'once à plus de 140 en quelques années, permettant aux investisseurs avisés de multiplier leur investissement par 17, de quoi transformer 3 000€ en plus de 50 000 !
Les cours de l’uranium repartent à la hausse depuis 2017, en augmentation de plus de 60 % depuis le point bas.
Mais il y a plus important : le prix de l’uranium s’apprête à remonter au-dessus de sa tendance de long terme (la courbe bleue est en train de repasser au-dessus de la courbe grise dans la courbe ci-dessous).
C’est un signal rare que les analystes guettent car il indique un renversement de tendance structurel et précède les grands marchés haussiers.
C’est LE moment de nous positionner sur l’uranium.
Comme vous pouvez voir sur le graphique ci-dessus, la crise de 2008 a mis un coup d’arrêt à la spéculation sur l’uranium.
Mais la situation actuelle est très différente : l’uranium N’est PAS en situation du bulle comme en 2007, il est au contraire sous-valorisé, ce qui est exceptionnel et précieux au moment où l’immense majorité des marchés financiers sont en situation de bulle.
Et même si la demande énergétique baisse lors de la prochaine crise, le nucléaire qui représente 4 % de l’énergie mondiale a des marges de progression importantes, comme seule alternative viable au charbon pour la production d’électricité.
Les capacités mondiales de production d’uranium sont structurellement en dessous des besoins, sans compter les nouvelles ouvertures de centrales !
Les stocks militaires ainsi que ceux accumulés par le « trou » de consommation après Fukushima ont masqué ce déficit qui réapparaît aujourd’hui.
Les prévisions pour les 10 prochaines années montrent le déficit structurel de la production d’uranium par rapport aux besoins :
Dans le graphique ci-dessus, vous voyez la demande en rouge et l'offre en bleu qui n'arrive pas à couvrir la demande.
Cela va créer des tensions sur le prix de l’uranium à long terme.
Nous sommes donc à un moment de retournement de conjoncture ET de hausse structurelle pour l’uranium.
La Chine n’est que le 4e consommateur d’uranium dans le monde derrière les États-Unis, la France et la Russie mais l’Empire du Milieu concentre l’essentiel des projets de nouvelles centrales.
L’évolution des besoins en uranium dépend donc essentiellement de la Chine.
Moins de 4 % de l’électricité chinoise provient du nucléaire. Les Chinois ont pour projet de doubler cette capacité et ils ont pris du retard.
À la suite de Fukushima, la Chine a fortement ralenti la cadence. 8 ans plus tard, la Chine a développé l'environnement sécuritaire le plus abouti au monde, participant à toutes les initiatives internationales en faveur de la sécurité et chose rare, en étant transparents et participatifs.
Puis, au dernier congrés du Parti communiste chinois, le Parti a officiellement réaffirmé ses objectifs de développement dans le nucléaire civil et un officiel du parti a chiffré les objectifs a 8 centrales par an jusqu'en 2030, soit plus du double des centrales mises en chantier. Depuis, 4 autres centrales ont été lancées confirmant les déclarations du congrés.
En doublant ses capacités, la Chine ne passerait que de 4 à 8 % d’électricité d’origine nucléaire mais cela représente un signal important pour le marché de l’uranium qui est déjà en reprise.
De plus la Chine développe en ce moment de nouveaux usages civils pour le nucléaire, notamment.
Les mines d’uranium sont le moyen le plus évident de vous positionner sur le marché de l’uranium (mais pas le seul comme vous allez voir).
Lors de la dernière bulle au début des années 2000, les marges de ces entreprises avaient explosé générant des profits vertigineux pour leurs actionnaires.
À cette époque, même les entreprises les moins performantes du secteur délivraient des retours sur investissement de l’ordre de 20 contre 1.
J’ai sélectionné pour vous la meilleure société uranifère toutes catégories.
Elle est située au Canada, sans risque géopolitique.
Elle fait partie des producteurs d’uranium les plus importants de la planète et contrôle deux des plus grandes mines à haute teneur en uranium (100 fois la moyenne mondiale).
Ses mines sont les moins coûteuses à exploiter et elle a développé une technique d’extraction non invasive qui permet de limiter au maximum son impact sur l’environnement ainsi que les risques associés.
Cela signifie qu’elle peut produire de l’uranium moins cher que ses concurrents, un peu comme l’Arabie Saoudite pour le pétrole.
Sa taille associée à son faible coût d’extraction permet de limiter le risque au maximum et c’est exactement le genre d’opportunité que je recherche avec un rapport risque/rendement nettement en notre faveur.
Lors de la dernière hausse, les actions de cette société s’échangeaient pour la modique somme d’1,35 $, avant d’atteindre les 52 dollars en 2007… C’est-à-dire que vous auriez transformé 3 000 € en 114 000 € !
Je ne peux bien évidemment pas vous garantir de tels retours mais comme je vous l’ai déjà dit :
C’est exactement la situation dans laquelle se trouvait le secteur de l’uranium au début des années 2000.
Il existe une autre manière, peu connue, d’investir dans les matières premières : il suffit d’acheter des stocks.
Je ne suis pas en train de vous suggérer de stocker de l’uranium dans votre garage… Des entreprises spécialisées le font très bien pour vous. Il s’agit de fiducies qui investissent dans de l’uranium physique.
Contrairement aux entreprises minières, les fiducies ne sont pas confrontées à des risques géopolitiques ou d’exploitation.
Elles achètent puis stockent la marchandise en lieu sûr, de sorte qu’un changement de réglementation, une catastrophe environnementale ou naturelle ou un conflit local ne les affectent pas directement.
Pas besoin d’investir dans des installations minières extrêmement onéreuses et risquées. Pas de risque géopolitique, pas de nouvelle réglementation contraignante ou de mauvaise nouvelle sur le filon que vous exploitez.
Je précise que l’uranium ainsi stocké est faiblement radioactif et se manipule à la main.
On ne fait pas plus simple, vous avez une opportunité et un risque : si les cours de l’uranium montent, le cours de la fiducie monte, et inversement.
La fiducie que j’ai sélectionnée pour vous est canadienne. Elle a été créée en 2005 et investit 85 % de ses ressources dans l’uranium.
La bonne gestion de la société lui a permis d’acheter des stocks au moment où l’uranium était au plus bas.
Elle ne conclut pas de contrats de change ni de produits dérivés, lesquels sont considérés comme hautement spéculatifs et beaucoup plus risqués.
Elle achète, elle stocke, elle revend.
En prévision des hausses du prix de l’uranium, cette société a blindé ses stocks pour pouvoir revendre le minerai à prix d’or.
C’est donc le moment idéal pour vous positionner.
Cette fiducie réalisa un gain en bourse de 350% en moins de 2 ans entre 2005 et 2007.
La 3e société que j’ai sélectionnée a le potentiel de gain le plus élevé. Elle a rapporté jusqu’à 60 fois sa mise lors du dernier boom. C’est-à-dire que si vous aviez investi ne serait-ce que 3 000 € dans cette société, vous auriez pu en retirer 180 000 € en à peine un an !
C’est une minière parmi des principaux acteurs de l’uranium aux États-Unis. Elle est à nouveau positionnée pour des gains extraordinaires :
Mais ce n’est pas tout. Cette minière a également la particularité de détenir la seule usine de retraitement de déchets nucléaires aux États-Unis. C’est un avantage comparatif important, car en plus d’être une autre source de revenus avec des clients captifs, elle est positionnée pour le développement d’un nucléaire propre et maîtrisé sur toute la chaîne.
J’ai réuni ces 3 opportunités dans un dossier indispensable de 45 pages.
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C’est une mine d’or pour tout investisseur, débutant ou confirmé qui cherche à se positionner sur ce secteur.
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Comme je vous l’ai dit, l’uranium est l’un des TRÈS rares actifs à ne pas être en situation de bulle actuellement.
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